Qui sait si, parce que j'ai laissé passer du temps depuis mon séjour à Freiburg, l'automne dernier, j'ai voulu étiqueter les images que j'en ai ramené de cette manière un peu old school. Toujours est-il que Freiburg me semble aujourd'hui si loin, et si proche à la fois. J'imagine qu'il y neige, en ce moment. Que les couleurs d'automne, celles qui m'ont tant émerveillée là-bas, ont disparu. Que tout a blanchi. Que cette chape de temps gris a enveloppé la ville comme mes amies allemandes me le racontaient. Peut-être que Freiburg y est aujourd'hui moins beau que tout rouge et tout rougeoyant comme il est resté dans ma tête. Et pourtant Freiburg me manque.
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